Auto-promotion : Ciné-bulles 28-4

Le numéro d’automne de Ciné-bulles paraît ces jours-ci en kiosque. J’y signe la chronique Travelling arrière:

Le début des années 2000 a été marqué par une crise sociale, politique et économique aux États-Unis, mise à l’avant-plan par les événements du 11 septembre et par la prise de conscience nationale qui s’en est suivie. Au cinéma, cela s’est traduit par un désir marqué de dissection des images préfabriquées omniprésentes dans le cinéma de divertissement, dans le but de dévoiler le «vrai» visage des États-Unis, bien différent de ce que montrent généralement les médias.

[…] Plusieurs cinéastes de cette mouvance ont favorisé la déconstruction du modèle familial traditionnel, qui va souvent de pair avec le rêve américain mis de l’avant dans le cinéma mainstream.

« Travelling arrière – Entre cassure et renouveau », Ciné-bulles, vol. 28, no. 4, automne 2010, pages 48 à 51.

 

Les films étudiés sont tous très bons :

  • Little Miss Sunshine (Jonathan Dayton et Valerie Farris)
  • Lars and the Real Girl (Craig Gillepsie)
  • The Squid and the Whale, Margot at the Wedding (Noah Baumbach)
  • Me and You and Everyone we Know (Miranda July)

Je signe aussi une critique du film Mères et filles de Julie Lopes-Courval (page 59).

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